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Baie des Trepasses Cleden Cap Sizun Finistere 1826

http://fr.wikipedia.org/wiki/Baie_des_Tr%C3%A9pass%C3%A9s_(Cap_Sizun)

Baie des Trépassés (Cap Sizun)­
La baie des Trépassés est enserrée entre la pointe du Raz et la Pointe du Van, et se trouve sur les communes de Plogoff et de Cléden-Cap-Sizun (territoire du Cap Sizun). Son rivage forme une longue plage de sable reliant les deux pointes. La Baie des Trépassés est partie intégrante du Grand Site de France et à ce titre sa protection et sa gestion sont assurées par le Syndicat Mixte pour l'Aménagement et la Protection de la Pointe du Raz et du Cap Sizun.
L'origine de son nom Bae an Anaon en Breton, cette plage a triste réputation : une légende raconte qu'autrefois les cadavres des naufragés s'y échouaient fréquemment. Mais les courants s'opposent et cette plage doit son nom sinistre à une erreur de traduction : elle s'appelait à l'origine Bae an Avon, la baie de la rivière. Mais l'erreur contribue fortement à la légende.
L'une des hypothèses avancées est liée à l'histoire malheureuse de l'activité maritime de passage ou de pêche côtière dans les parages du Raz de Sein. La configuration des courants de marée et les vents dominants de secteur ouest repoussaient en effet les corps des marins naufragés sur la plage.
Une autre explication ferait revenir aux naufrageurs locaux l'origine de ce nom.
La baie, ouverte plein ouest face à l'Atlantique et recevant tout au long de l'année un vent assez fort, parfois violent assorti d'une grosse houle déferlante, constitue un spot de surf assez réputé dans toute la Bretagne.
L'écrivain breton Anatole Le Braz (1859-1926), dans un récit intitulé Impressions de Bretagne, le pays funèbre, daté de 1896 et figurant dans le recueil Impressions de Bretagne édité en 2004 par An Here, décrit la baie de Trépassés dans les termes suivants:
« Rien ne saurait rendre l'impression d'infinie solitude, de veuvage, de néant, que donne, l'hiver, cette "baie des Âmes", boé an anaon, comme l'appellent les Bretons, en leur langue, d'un mot sourd et plaintif, emprunté, dirait-on, au vocabulaire de l'au-delà. La puissante lamentation de la mer, tantôt éclatait en sanglots, tantôt se traînait en longs gémissements... »
Légendes et croyances populaires
Selon une croyance bretonne, durant la nuit de Noël, la baie des Trépassés résonnerait des chants des âmes en peine qui sont ballotées sur le bateau des morts.

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Copyright: Dieter Kik
Type: Spherical
Resolution: 9308x4654
Taken: 14/06/2011
Uploaded: 02/08/2011
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Tags: beach; sand; waves; sun; fog
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Cornouaille Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Capitale historique Quimper Langue(s) Français - Breton Religion Catholique Superficie 5 979 Km² Population 456 307 (1999) Gwenn ha du.svg Portail de la Bretagne La Cornouaille (Kernev, Bro Gernev en breton) est un pays de Bretagne (à ne pas confondre avec la Cornouailles britannique, dont le nom s'écrit avec un "s"). Le gentilé de la Cornouaille bretonne est cornouaillais  e (le gentilé de la Cornouailles britannique est cornique). Étymologie Cornouaille se dit Kerne, Kernev ou Bro Gerne en breton, et Cornugallia en latin, parfois « Cornubia ». * Il est possible que ce nom lui ait été donné en référence à cette région de Cornouailles (Kernow), tout comme l'actuel Devon (ancienne Dumnonia) a donné son nom à la Domnonée qui désignait la côte Nord de la Bretagne au Haut Moyen Âge. * Selon une autre hypothèse qui a eu longtemps cours, le nom serait d'origine anglo-saxonne et signifierait « Le pays des étrangers » en référence au cantonnement des Celtes d'Outre-Manche par les envahisseurs angles, saxons, jutes et frisons. * Une troisième hypothèse, basée sur la traduction latine cornugallia, est invoquée par certains auteurs : cornugallia signifierait le coin de la Gaule, relativement à la situation géographique de la Cornouaille bretonne. Antiquité tardive Les deux Cornouaille(s) trouvent plus vraisemblablement leur origine commune à la fin du IIIe siècle : les incursions de pirates saxons, frisons et scots, associées aux pillages des bagaudes, contraignent les villes armoricaines (entre autres) à s'entourer en urgence de murailles dont les restes se voient encore à Alet, Brest, Nantes, Rennes et Vannes. Devant l'incurie de l'empire romain, le responsable de la défense des côtes, le ménapien Carausius (puis son successeur Allectus) établit entre 288 et 296 un empire séparé sur les côtes nord et sud de la Manche pour les garantir des invasions. L'empereur Constance Chlore les vainc en 293 et 296 et, ayant rétabli l'unité de l'empire de ce côté, organise la défense côtière en transférant des Bretons en Armorique à partir de 296-297. Ces Bretons sont des Cornovii, peuple sans doute fidèle à Rome et choisi pour ce motif. Le chef-lieu de leur cité est à Viroconium Cornoviorum (l'actuelle Wroxeter) et ils occupent plus au nord le port de Deva (Chester). Les Cornovii étant chargés du contrôle militaire des pointes occidentales de la Bretagne et de l'Armorique, c’est-à-dire de l'ouest de la Manche, leur nom se serait conservé en ces lieux. Il ne s'agit donc pas d'une colonisation massive comme cela arrivera au VIe siècle, mais d'une occupation militaire. Le Tractus armoricanus et nervicanus (administration militaire chargée du contrôle de toutes les côtes de Boulogne à la Gironde), et son bras armé, la Classis armoricana (Flotte armoricaine), ne sont créés proprement qu'en 370, sous le règne de l'empereur Valentinien Ier. Haut Moyen Âge D'autres princes sont dits avoir régné sur les côtes nord et sud de la Manche occidentale, comme le roi de Cornouaille Daniel Drem Rud au VIe siècle, et le fameux comte Conomor assimilé au roi Marc de la Cornouailles britannique (Marcus Cunomorus). Entre 815 et 839, Egbert annexe le royaume breton de Cornouaille. La Cornouaille armoricaine est mentionnée pour la première fois et indirectement entre 852 et 857 quand « l'évêque de Saint-Corentin », Anaweten, est qualifié de Cornugallensis (adj. latin dérivé de Cornugallia). L'existence d'une commune d'Anjou dénommée « La Cornuaille » a suscité une hypothèse qui en ferait une appellation géographique ou militaire couvrant toute la Bretagne du Sud et faisant pendant à la Domnonée sur le rivage Nord au VIe siècle ou VIIe siècle. Formation de la Bretagne Au IXe siècle, il semble que le nom de Poher (pour Pou-Caer = Pays de la Ville ou Pays du Château ou Pays de Carhaix) se soit substitué à celui de Cornouaille. Par la suite, il fut réservé à la vallée de l'Aulne, dont la capitale était Carhaix. À la fin du IXe siècle, le comté féodal de Cornouaille reprend le nom de l'ancien royaume. Sa dynastie accède au trône ducal, il passa à l'évêque de Quimper qui devient comte-évêque de Cornouaille jusqu'au XIe siècle où deux frères s'en répartissent les dignités. La Cornouaille de nos jours Composée de 218 communes (sur la base des communes actuelles), la Cornouaille comptait - au dernier recensement de 1999 - 456 307 habitants pour une superficie totale de 5 979 km². Le nom a été repris officiellement en 2001 pour sa partie au sud d'une ligne Châteaulin-Scaër pour la circonscription de programmation « Pays de Cornouaille » composée de 112 communes (loi Voynet, 1999)


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